Planches insolites, 170 ans de trésors, Larousse

Un beau livre sous le sapin…
offert par Babelio et les éditions Larousse

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Planches-insolites-170-ans-de-tresors

Planches insolites
170 ans de trésors
Larousse

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Ce très beau livre encyclopédique regroupe des planches illustrées datant du XIXe siècle issues des archives des éditions Larousse. A gauche, les mots instruisent sur l’animal, le végétal, les arts, l’industrialisation, les technologies, l’Histoire… à droite, les dessins offrent des gravures, certaines seulement encrées et d’autres colorisées. Il synthétise notre monde dans tous les répertoires, jusqu’à ce siècle en pleine évolution. Comme me l’a dit une amie, c’est un inventaire à la Prévert. Un inventaire dense répertorié en dix parties, dont les intitulés n’ont rien d’austère…
A tire d’aile, Le petit peuple de la Terre, Les profondeurs sous-marines, Les travaux des champs, Au cœur du potager et de la vigne, Le jardin dans tous ses états, Les clameurs citadines, Vue d’ateliers, Tous en scène !, Tumultueux champs de bataille.
Ce puits de savoir à l’étendue universelle est très instructif, mais pas seulement. Si j’ai choisi cet ouvrage académique, ce dictionnaire très complet, c’est surtout pour ses illustrations qui sont une source inépuisable pour celles et ceux qui crayonnent et qui peignent. Les traits, les détails, les couleurs et leurs variétés sont d’une grande richesse.
Cette encyclopédie est un superbe ouvrage qui peut ravir les grands et les petits. Il forme, il cultive, l’intelligence, la curiosité et l’imaginaire…
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La crue

La crue1La crue
Tome 1 – Blackwater
Michael McDowell

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Virginie, Alabama, 1919,
La crue de printemps de 1919 à Perdido fut exceptionnellement violente. Les deux rivières ont inondé la petite ville d’une boue rouge et détruit toutes les habitations en les plongeant sous cinq mètres d’eau.
Tous ont fui sur les hauteurs. Constater les dégâts ne sera pas une chose facile, peut-être même impossible et il faudra envisager de tout reconstruire. Outre les dévastations qui offrent une image apocalyptique, l’atmosphère délivre une odeur nauséeuse et entêtante. Pour analyser la situation, à bord d’une petite barque, Oscar Caskey, héritier d’une grande et riche famille, et Bray, son dévoué serviteur, tentent de se frayer un passage sur la voie principale. Quatre jours ont passé et la ville fantôme est effrayante. C’est pourquoi, lorsqu’ils voient une silhouette à travers la fenêtre du grand hôtel, ils ont une petite réticence à aller voir de plus près. Ils découvrent une jeune femme qui attend patiemment sur son lit que quelqu’un vienne la sauver. Si Oscar semble subjugué par son mystère, sa beauté, sa chevelure rousse, Bray ressent un sentiment trouble, plus lié à de la peur qu’à de l’admiration.
Elle s’appelle Elinor Dammert et elle est arrivée à Perdido pour enseigner. Impassible et charmante, la catastrophe ne semble pas l’avoir perturbée et c’est avec une grande dignité qu’elle embarque sur le petit esquif pour regagner la terre ferme.
Elle est d’abord une curiosité, puis une énigme car les questions qu’on lui pose n’ont pas de réelles réponses. Pour certains, elle est une femme courageuse et très attirante. Elle séduit très vite les hommes, les femmes et les enfants. Mais pour d’autres, comme pour Mary-Love la mère d’Oscar, ils perçoivent sa singularité et son côté obscur comme une menace, dans son attitude, sa façon de parler et de se mouvoir.
Mary-Love Caskey ne voit pas d’un bon œil cette nouvelle venue et s’inquiète pour son fils qui se sent de plus en plus conquis. De plus, la couleur de ses cheveux est de la teinte de l’argile qui englue tout le paysage. Elle paraît tisser ses fils autour de Perdido. Elle paraît à la fois magicienne, ondine et sorcière.
Qui est-elle vraiment ?

Dès le début de la lecture qui est le premier tome d’une série de six, on ressent un malaise. C’est grinçant, sinistre et un peu excessif. Tellement secret !
Elinor, est-elle une manipulatrice maléfique ou est-elle un ange salvateur ? Le style gothique nous mène certainement vers le fantastique où l’angoisse est distillée à petites doses pour que le mystère demeure.
J’ai lu le livre avec une petite distance pour me préserver. Je n’ai pas voulu m’attacher à l’un ou à l’autre, décelant une diablerie quelque part sans jamais la définir. L’auteur laisse le suspense entier, nous incitant à regagner la famille Caskey et Perdido dans le second tome intitulé « La digue ».
Originaire d’Alabama, Michael McDowell sait nous imprégner de l’essence de sa terre, même si ce petit coin perdu, Perdido, bordé par deux rivières, Perdido et Blackwater, existe sans vraiment exister.
A suivre… et mention spéciale pour la belle édition…

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Une lecture chez Aifelle, Béa, Belette, Hilde, Alex,

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Cake

british-mysteries-2023_logo6Les Gourmandises avec Isabelle
et
Challenge British Mysteries avec Hilde et Lou
tous les 3ème dimanches

Vous trouverez des recettes chez…

Hilde – Chicken pie express (Angleterre)
Lou – Cake au cheddar et aux champignons (Angleterre)
Isabelle – Soupe Brighton au cheddar et naans au fromage (Angleterre)
Rosa – Carrot cake (Angleterre)
Claude – British cake  (Angleterre)
Chantal – Muffins (Angleterre)
Estellecalim – Cake au thé earl grey (Angleterre)
Sandrion – Petits pains alsaciens

Liza – Vassilopita (Grèce)
Lydia – Cailles farcies
Eimelle – Brioche perdue aux framboises
Béa – Soupe de lentilles et patates douces (Inde)

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Cakeanglaisviolette 3Pour un goûter anglais, je vous propose le cake de Violette…

Cakeanglaisviolette 1Ingrédients :
– 150 g de beurre
– 250 g de farine
– 1 sachet de levure
– 150 g de sucre
– 3 œufs
– 200 g de crème fraiche épaisse
– 15 cl de miel liquide
– 100 g de fruits confits

Préparation :
– Mélangez tous les ingrédients sans les fruits confits.
– Beurrez un moule et versez la moitié de la préparation.
– Ajoutez les fruits confits et couvrez de pâte avec la deuxième moitié.
– Enfournez environ 45 minutes à 180°.

Verdict : Une bonne recette, facile à préparer !  Merci Violette, le cake est très léger…

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Lydia Cassat lisant le journal du matin

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Lydia Cassatt lisant le journal du matin
Harriet Scott Chessman

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A travers cinq chapitres de son roman, cinq tableaux de la peintre Mary Cassatt de 1878 à 1881, l’auteur s’imagine être auprès des deux sœurs, Mary et Lydia, et confie sa plume à cette dernière, qui fut l’un des modèles de Mary.
Mary et Lydia sont nées en Amérique en Pennsylvanie, mais d’origine française par leur mère, elles font de fréquents séjours en France et s’installent définitivement à Paris en 1873 où Mary essaie d’exposer certaines de ses œuvres au Salon de Paris. Elle y rencontrera Edgard Degas, un maître et un ami, mais aussi tout le groupe des impressionnistes de l’époque.

De septembre 1878 à juin 1881, Paris, IXe arrondissement, avenue de Trudaine…
Mary a trente-quatre ans et Lydia en a sept de plus. Mary est lumineuse, exaltée et happée par sa peinture. Lydia, plus réservée et incline à l’introspection, souffre d’une grave maladie qui la fera mourir à la fin de l’année 1882. Comme elle l’expliquera dans les dernières pages, Lydia se place souvent « hors champ » pour se livrer à ce qu’elle aime le plus faire, analyser ses lectures, observer la vie qui l’entoure et retrouver les souvenirs de sa jeunesse.
Pour  « Femme lisant », elle pose de profil avec un journal entre les mains, donnant ainsi une certaine modernité au sujet et une dynamique féministe. La lecture, l’angle du bras, la tenue, tout est travaillé. Elle détaille Mary entrain de la peindre. Elle la trouve libre, spontanée, enjouée, hardie, perfectionniste et admire sa dextérité, son talent. Ses pensées la tirent vers ses dernières lectures, Madame Bovary de Flaubert et Persuasion de Jane Austen. Elle revoit les jeunes hommes, beaux et rieurs, de son enfance, des amis et des cousins fauchés par la guerre de Sécession. Et ses souvenirs la ramènent à des moments plus heureux avec Thomas, lui aussi parti.
Elle aime les couleurs et elle en définit souvent leurs teintes, presque comme une artiste ; le vert profond d’un lac, un bleu somptueux, un bleu roi, un gris verdâtre, un rose lumineux, un beige rosé, un jaune de soie, un rouge d’ombre… Elle pose avec beaucoup de patience et d’amour pour sa sœur qui lui dit souvent qu’elle est belle, alors qu’elle se sent honteuse d’être malade, que ses faiblesses sont aussi bien physiques que psychologiques, qu’elle aimerait s’enfermer à l’intérieur d’elle même ou se réfugier sous un édredon à l’abri de la lumière, des bruits et de la vie entière.
Monsieur Degas passe régulièrement. Elle trouve du charme à sa rusticité. Et lui, gentil, attentif, l’œil expert, se soucie de l’une et de l’autre.
Les jours, les saisons passent, les tableaux s’enchaînent, elle aime voir des enfants, elle parle du monde de l’art, de la littérature, elle a mal de plus en plus dans un flux et reflux, elle pose dans une voiture, dans un jardin, avec une tasse de thé, avec sa broderie, elle s’inquiète pour sa sœur, elle lui écrit un long mot pour plus tard, elle se perd chastement à songer à l’amour…

Je vous recommande ce beau roman, une fiction, qui raconte l’amour de deux sœurs, l’une qui veut partager à tout prix la lumière avec l’autre…

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Mary Cassatt, Le thé

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Boulettes de bœuf au curry

les-gourmandises en IndeLes Gourmandises avec Isabelle
Un voyage en Inde avec Hilde et Blandine

Vous trouverez des recettes chez…

Isabelle – Velouté de patates douces et lentilles à la crème de coco (Inde)
Hilde – Butter chicken (Inde)
Estellecalim – Chaï latte (Inde)

Sandrion – Le livre de Rachel (Littérature indienne), Dahl de lentilles vertes et naans au fromage (Inde)
Claude – Galettes de lentilles corail, sauce tahin (Inde)
Enna – Poulet satay (Inde)
Eimelle – Purée maison
Chantal – Crème de petits pois
Liza – Bûche de fin d’année
Lydia – Fromage blanc, confiture et raisins
Béa – Gratin de cabillaud et pommes de terre persillées

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Une nouvelle année, mais toujours fidèle aux rendez-vous des copines… Le deuxième dimanche des mois se passe en Inde ! Sur une base de riz crémeux au curry, je propose des boulettes…

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Boulettes à l'indienne curry 1.
Ingrédients :
Pour les boulettes (4 personnes) :
– 500 g de viande de bœuf hachée
– 2 œufs, 2 tranches de pain de mie, 1 pot de yaourt (saveur coco ou nature), 1 grosse poignée de gruyère râpé
– Farine
– Persil frais, 1/2 oignon rouge, ail déshydraté, sel, poivre, huile de tournesol
Pour le riz (4 personnes) :
– Riz semi-complet
– 1/2 oignon rouge, 4 carottes, 1 poignée de raisins secs, 1 branche de céleri
– Matière grasse, sel, poivre, curry, graines de cumin, graines de sésame (facultatif)

Préparation :
– Rincez le riz dans une passoire.
– Faites-le revenir dans de la matière grasse avec la moitié de l’oignon rouge coupée finement.
– Ajoutez de l’eau, comme pour un risotto, les carottes et la branche de céleri coupées en dés. Vous mettrez les raisins secs vers la fin de la cuisson.
– Salez, poivrez, épicez avec le curry, selon votre convenance, et les graines de cumin.
– Tout au long de la cuisson, versez un peu d’eau et remuez pour obtenir un riz crémeux.
– Mixez la viande avec les autres ingrédients (sauf la farine).
– Faites des boulettes et enrobez-les dans de la farine.
– Dans un poêlon, faites chauffer l’huile et cuisez les boulettes en les retournant sur tous les côtés.
– Dressez votre assiette, creuse, avec le mélange riz-petits légumes au curry et les boulettes dessus. Parsemez un peu de persil et de graines de sésame pour décorer.

Verdict : C’est bon ! et j’ai mis des lamelles de chou rouge… petit supplément apprécié.

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Boulettes à l'indienne curry 2

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Griffes

British-mysteries-2023_logo7Un livre offert par Babelio et les éditions L’école des loisirs
dans le cadre des Masses Critiques

Challenge British Mysteries avec Hilde et Lou

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GriffesGriffes
Malika Ferdjoukh
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Le prologue introduit le lecteur dans un couvent où des religieuses aident une jeune femme à accoucher, et lui annoncent avec beaucoup de tristesse que le bébé est mort né. Dans la pièce voisine, le nouveau né qui est en bonne santé, est donné à un couple qui s’empresse de l’emmener…
Dix-sept ans plus tard, l’histoire se poursuit dans un petit village du nord de l’Angleterre, à la frontière écossaise. Dans une diligence, une femme annonce de but en blanc aux voyageurs, qu’elle est partie de Londres après avoir eu des visions qui lui annonçaient l’assassinat du juge Benedict Apley de Morgan’s Moor.
Lorsqu’elle arrive sur la place du village, à peine descendue de la diligence, elle désigne le coupable en la personne du mercier, Horton Palance, et fait tellement de grabuge que le constable est appelé. Le juge Apley est-il vraiment mort ? Les officiers de police partent à Harborough Hall pour le voir, mais les prédilections macabres de Miss Donalda Brown s’avèrent justes. Comme elle l’avait décrit, il est mort lacéré par des griffes et Horton Palance porte à la place d’une main, une prothèse garnie d’un crochet.
Trois ans après, les villageois de Morgan’s Moor gardent encore en mémoire les stigmates de ce drame. L’enquête du meurtre a abouti très rapidement à l’accusation de Palance et à sa pendaison, malgré qu’il ait clamé son innocence jusqu’à la potence. Folle de chagrin, sa femme s’est laissée mourir et leur fille a dû taire son amour pour le fils du juge, car on ne peut épouser la fille de l’assassin de son père.
Aux premières loges du cœur de Morgan’s Moor, la fille des aubergistes, Flannery Cheviot, se montre attentive à tout ce qui se passe. Passionnée par les histoires policières de Sherlock Holmes, elle rêverait d’intégrer les unités de Scotland Yard.
Alors, lorsqu’un second crime est commis à Harborough Hall, sur la personne de la sœur du juge, Vienna Apley, et qu’arrive le SDDI and INC de Londres, Service des dossiers insolites et des intrigues non conventionnelles, Flannery va se placer dans leurs pas et essayer de découvrir les mystères du crime.
Deuxième mort avec une arme griffée entre les murs de la demeure des Apley, dans une pièce fermée de l’intérieur… l’énigme est totale !
Le superintendant Tanybwlch et son adjoint Pitchum Daybright ne pensaient pas compter sur une aide pour élucider l’affaire, un petit bout de fille à qui on demande de brider son imagination et son impertinence, car Flannery ne cherche pas à se montrer discrète, ne refrène pas ses bavardages, se montre taquine, curieuse, et bien plus perspicace que ces messieurs.
L’arme serait une griffe de jardinier, et le meurtrier ? Un croquemitaine, un fantôme, un esprit maléfique ? C’est ce que disent les gens de ce bout de terre loin de tout, quand une troisième mort vient chambouler leurs vies.

Avec ce roman thriller pour la jeunesse, qui se passe à la fin du XIXe siècle, l’auteur donne une belle personnalité à son héroïne, une jeune fille pleine de fraîcheur, de peps, d’humour et d’intelligence. Le siècle se termine et un autre, plus moderne, plus rapide, se profile, qui ouvre pour les femmes des portes sur un avenir moins obstrué.
Nous sommes dans une campagne un peu perdue et pourtant la vie dans ce petit village est loin d’être timorée. Les personnages sont pour la plupart fort sympathiques et génèrent une ambiance très agréable à lire.
En ce qui concerne le scénario, il se complexifie au fur et à mesure et se joue de nos spéculations. On pense trouver un suspect, son mobile, et de la boîte de Pandore, ou d’un chapeau claque, il en sort d’autres coupables et d’autres motivations. Les secrets bien sombres se dévoilent, s’entremêlent, voire même s’emberlificotent, et tissent une trame palpitante qui tient son lecteur jusqu’au point final.
Je vous recommande ce bon roman, où vous trouverez des histoires… d’amour, de secrets de famille, de vengeances et de meurtres… Il rentre dans la lignée des romans gothiques qu’aimait lire Catherine Morland de
Northanger Abbey (roman de Jane Austen).
J’aimerais beaucoup lire la suite et retrouver la belle équipe que forme le duo Pitch-Flannery…

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Je lis, donc je suis… 2022

Sir John Lavery, Miss Auras, The Red Book

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Le rendez-vous du début de l’année, le tag « Je lis, donc je suis »,
qui revient sur les lectures de l’année passée…

avec AifelleSandrion, Philisine, Manika, Enna,

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Décris-toi : Une insolente curiosité
Comment te sens-tu actuellement ? Les beaux jours de Noël
Si tu pouvais aller où tu veux, où irais-tu ? Seule Venise
Ton moyen de transport préféré : Le premier grand voyage du Père Noël
Ta meilleure amie est ? Scarlett
Toi et tes amis, vous êtes ? Les grenouilles samouraï de l’Étang des Genji
Comment est le temps ? La caresse de l’hiver
Quel est ton moment préféré de la journée ?
Qu’est la vie pour toi ? La bouse
Ta peur ? Le Horla
Quel est le conseil que tu as à donner : A la table zen
La pensée du jour : Le tour d’écrou
Comment aimerais-tu mourir ? Oups !
Les conditions actuelles de ton âme ? Vivre vite
Ton rêve ? L’or des Aztèques

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Osso buco et sa gremolata à l’orange

Logo Gourmandises Noël 21Les Gourmandises avec Isabelle
et
Il était dix fois Noël avec Samarian et Chicky Poo

Vous trouverez des recettes chez…

Isabelle – Brioche fourrée à la ricotta, aux framboises et au chocolat
Sandrion – Sablés
Lydia – Tournedos en fête
Chantal – Biscuits à la crème de marron
Claude – Noix de Saint-Jacques à la sauce érable

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Osso buco gremola 4.

Osso buco gremola 1Ingrédients pour 8 personnes :
– 8 jarrets de veau
– 5 carottes, des petites tomates cerises, 2 branches de céleri
– Tomates concassées en conserve
– 1 orange bio
– 3 verres de vin blanc, 1 briquette de bouillon de légumes
– 2 oignons rouges, 8 gousses d’ail (6 cuisson, 2 gremolata), 1 botte de persil plat
– 3 piments pili-pili, thym, romarin, feuilles de laurier, 2 clous de girofle
– Huile d’olive, sel, grains de poivre, 4 cuillères à soupe de farine

Préparation :
– Lavez et coupez les légumes (carottes, tomates, céleri) en petits morceaux. Coupez en lamelles les oignons et écrasez l’ail avec sa peau.
– Dans une marmite, faites revenir dans de la matière grasse (huile d’olive) les jarrets (légèrement farinés) sur leurs deux faces, durant quelques minutes, avec l’ail et les oignons.
– Versez le vin blanc, ajoutez la briquette de bouillon de légumes additionnée d’eau, les carottes, le céleri, les tomates concassées, le céleri, les piments, le thym, 1 petite branche de romarin et les feuilles de laurier. Salez, poivrez et laissez mijoter 1 heure.
– Les tomates cerises seront à ajouter 15 minutes avant la fin de la cuisson. Surveillez et mettez un peu d’eau si nécessaire.
– Pour la gremolata, hachez le persil et 2 gousses d’ail. Mixez la peau d’une orange bio. Mélangez-les en un hachis que vous disposerez sur la viande au moment de servir.

Verdict : J’ai lu qu’on pouvait remplacer la peau de l’orange par la peau d’un citron. Ce que je peux vous dire, c’est que ce hachis persil-orange est très bon et ajoute une touche originale à un plat rustique et classique. J’ai servi l’osso buco avec un gratin de pommes de terre…
(Pensées à Louise !)

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Osso buco gremola 3

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